« Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce que l'on ignore... Voilà toute la politique. »
« Le glaive de la justice n'a pas de fourreau. »
« A force d'être malheureux on finit par devenir ridicule. »
« Le christianisme a été prêché par des ignorants et cru par des savants, et c'est en quoi il ne ressemble à rien de connu. »
« Les souvenirs du bonheur passé sont les rides de l'âme. »
« Le bourreau est la pierre angulaire des sociétés. »
« Les véritables miracles sont les bonnes actions faites en dépit de notre caractère et de nos passions. »
« L'usage est souvent un abus. »
« Il y a bien moins de difficultés à résoudre un problème qu'à le poser. »
« Une bonne réputation comme femme et comme ouvrière est plus avantageuse qu'un capital. »
« On ne s'intéresse guère aux affaires des autres que lorsqu'on est sans inquiétude sur les siennes. »
« Il n'y a point de méthode facile pour apprendre les choses difficiles. »
« En occupant les gens de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« Pourvu que je ne parle ni de l'autorité, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, je puis tout imprimer librement, sous la direction, néanmoins, de deux ou trois censeurs. »