« Ce qui est important, ce n'est pas de finir une oeuvre, mais d'entrevoir qu'elle permette un jour de commencer quelque chose. »
« Ce qui compte, ce n'est pas une oeuvre, c'est la trajectoire de l'esprit durant la totalité de la vie. »
« Les cicatrices psychiques laissées par le simple fait de se croire laide marquent à jamais la personnalité. »
« Je déteste faire le ménage. Vous faites le lit, la vaisselle et six mois après, tout est à recommencer. »
« L'action est l'antidote du désespoir. »
« Je vois la victoire comme les bornes d'une autoroute sans fin. »
« Les questions hypothétiques obtiennent des réponses hypothétiques. »
« J'ai des cuisses molles, mais heureusement, mon ventre retombe par-dessus. »
« Vous n'avez pas le loisir de choisir quand et comment vous allez mourir. Vous pouvez toutefois décider comment vous allez vivre. »
« J'ai foi dans le dollar. Je dépense tout ce que je gagne ! »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »