« Mon aversion pour le travail a été la première chose qui m'ait fait transiger avec ma conscience. »
« Il se lava à grande eau fraîche, s'ajusta mieux, avec une certaine coquetterie... »
« Un divan très bas et des coussins qui traînent à terre composent à peu près tout l'ameublement de cette chambre... »
« Une nuit d'août, là-bas, au large de la sombre Islande, au milieu d'un grand bruit de fureur, avaient été célébrées ses noces avec la mer. »
« Et les gros albatros lourds, d'une teinte sale, avec leur air bête de mouton, avec leurs ailes rigides et immenses, fendant l'air, piaulant après nous. »
« Marie restait là, immobile, percevant avec une espèce d'acuité douloureuse tous ces bruits déjà familiers. »
« Il faut absolument que j'aime quelqu'un; j'ai soif d'affection. »
« Elle avait accueilli mon retour imprévu comme une bénédiction du ciel. »
« Le soir surtout, on commençait à avoir conscience de l'accourcissement des jours. »
« Il suffit d'ouvrir un manuel de littérature grecque ou latine pour constater que les belles époques littéraires sont d'un demi-siècle alors que les littératures dites de décadence durent six cent ans. »
« La musique est au-delà des mots. »
« Pour lutter contre le présent et créer l'avenir, le passé est souvent l'arme la plus efficace. »
« Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur. »
« Que de gens lisent et étudient non pour connaître la vérité, mais pour augmenter leur petit moi. »