« Apprendre une autre langue, c'est comme le commencement d'une autre vie. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« Certaines batailles se gagnent en silence. »
« L'espoir a les yeux brillants. »
« La compétence ou l'incompétence n'ont pas d'âge. »
« Un livre, c'est un navire dont il faut libérer les amarres. Un livre, c'est un trésor qu'il faut extirper d'un coffre verrouillé. Un livre, c'est une baguette magique dont tu es le maître si tu en saisis les mots. »
« Le printemps s'annonce toujours rempli de promesses... Sans jamais nous mentir, sans jamais défaillir. »
« Le mensonge est parfois un voleur d'énergie ou un sauveteur de dernière minute. »
« On peut respecter les minorités, comprendre les particularismes, accepter la diversité sans pour autant céder à l'émiettement et au fractionnisme. »
« La guerre froide est la première expérience vécue de la paix atomique. »
« Les fausses amours partent en déchirant nos rêves ; les vraies restent en caressant nos jours. »
« Dans les années cinquante, on se réunissait en famille pour regarder la radio. Aujourd'hui, l'image est tellement banalisée qu'on écoute la télé. »