« C'est pas parce qu'on y voit double qu'à la fin on y voit mieux. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Il faudrait bien comprendre que le rôle de l'école est d'apprendre aux enfants ce qu'est le monde, et non pas leur inculquer l'art de vivre. »
« Aujourd'hui, tout le monde pose. L'homme propose, la femme dispose, l'industrie expose, le commerce dépose, les sciences composent, et les grands hommes reposent. »
« Pour être confirmé dans mon identité, je dépends entièrement des autres. »
« La principale caractéristique de l'homme de masse n'est pas la brutalité ou le retard mental, mais l'isolement et le manque de rapports sociaux normaux. »
« J'aimerais mieux aller hériter à la poste que d'aller à la postérité. »
« Le progrès et la catastrophe sont l'avers et le revers d'une même médaille. »
« Une citation dans un discours, un article ou un livre est comme un fusil dans les mains d'un soldat. Cela parle avec autorité. »
« J'aime mieux être tiré à quatre épingles qu'à quatre chevaux. »
« Sway ! »
« La peinture est une poésie muette et la poésie une peinture parlante. »
« La supériorité des blancs sur les rouges est incontestable. Je n'en veux que les haricots pour exemple. »