« Si le bonheur résidait dans les plaisirs du corps, nous proclamerions heureux les boeufs quand ils trouvent des pois à manger. »
« L'alcool dégrise. Après quelques gorgées de cognac, je ne pense plus à toi. »
« Par toute son éducation, par tout ce qu'il voit et entend autour de lui, l'enfant absorbe une telle somme de sottises, mélangés à des vérités essentielles, que le premier devoir de l'adolescent qui veut être un homme sain est de tout dégorger. »
« Quand j'entends le mot culture, je vois des champs, des boeufs, une alouette, une belle fermière. »
« Le dictionnaire regorge de sentiers qui se croisent et s'entrecoupent. Un labyrinthe où il est agréable de se perdre, un dédale où l'on bute à chaque pas sur des pierres précieuses. »
« Là où boivent les boeufs, il n'y a pas de calebasses. »
« Le génie français est perdu ; il veut devenir anglais, hollandais et allemand. Nous sommes des singes qui avons renoncé à nos jolies gambades, pour imiter mal les boeufs et les ours. »
« Il y a certainement des gens heureux de vivre, dont les jouissances ne ratent pas et qui se gorgent de bonheur et de succès. »
« Elle fait les plus plaisantes mines du monde; ce sont des simagrées, elle se rengorge. »
« On lie les boeufs par les cornes et les hommes par les paroles. »
« Les journaux regorgent d'histoires de braves gens pris en otages à la banque par des gangsters, mais ils restent muets sur les cas, pourtant plus fréquents, de clients pris en otages pas leur banquier. »
« Les prolétaires sont des candidats bourgeois qui se gorgent de vaudeville. »
« Il n'y a pas plus malin que le renard et pourtant les marchés regorgent de sa peau. »
« Tandis que les vautours (les conquérants, les guerriers) s'égorgeaient, les vers à soie filaient pour nous dans le silence; nous jouissons de leur travail sans les connaître, et nous ne savons que l'histoire des vautours. »