« Les hommes sont faux, ambitieux, vaniteux, égoïstes, et le meilleur ne vaut pas le diable, c'est bien triste. »
« Savez-vous ce qui arriverait au Sahara si on y installait le communisme ? Pendant cinquante ans rien. Au bout de cinquante ans, pénurie de sable. »
« Son whisky était si extraordinaire que quand il en buvait, il parlait écossais. »
« On se plaît au récit des maux qu'on ne sent plus. »
« Si ton couscous te plaît, mange-le quand il est chaud. »
« Il y a deux façons de ne plus avoir envie de rien : avoir ce qu'on voulait ou être découragé parce qu'on ne l'a pas. »
« Il faut savoir s'effacer avant que ne commencent à pâlir les plaisirs de la foire aux vanités. »
« Il y a des enterrements de première classe comme si on allait au Paradis par la chemin de fer. »
« Dans le passé, pour vivre dans des sociétés d'une complexité croissante, il nous fallait accroître notre humanité, maintenant, il nous suffit d'accroître la technologie. »
« Se haïr... Il ne fallait pas être le plus grand savant pour connaître que c'est la pire souffrance de l'homme. »
« Il y a un âge où le bruit plaît plus que la musique, et l'acidité des fruits verts plus que la saveur des fruits mûrs. »
« Avant, l'argent coulait à flot, maintenant j'éponge mes dettes. »
« Aujourd'hui, on prend un parapluie parce que la télé a dit qu'il allait pleuvoir. Autrefois, on aurait regardé le ciel. »
« Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux et les autres. Je n'ai jamais rencontré les autres. »