« Un cheval, c'est malcommode au centre et dangereux aux deux extrémités. »
« J'aime les porcs. Les chiens nous regardent avec vénération. Les chats nous toisent avec dédain. Les cochons nous considèrent comme des égaux. »
« La mort et la douleur seront nos compagnons de voyage, les privations notre vêtement, la constance et la vaillance notre seul bouclier. »
« Après la guerre, deux choix s'offraient à moi: finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix: je ne suis plus député! »
« Le chien lève vers vous des yeux implorants, le chat vous regarde de haut. Mais parlez-moi du cochon! Le cochon, lui, vous regarde droit dans les yeux, d'égal à égal. »
« Nous pourrions lui donner le ministère de la guerre et nous serions sûrs de l'éviter: pendant la guerre, il était ministre du charbon et nous n'avons jamais eu de charbon. »
« S'excuser, c'est un peu comme essayer de redonner de l'allure à un manteau élimé avec une brosse usée. »
« La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain: elle attire l'attention sur ce qui ne va pas. »
« Pour justement détester la musique moderne, il faut la connaître. Ainsi, on pourra la détester plus intelligemment. Ou bien, sait-on jamais, l'apprécier. »
« Il ne sert à rien de dire «Nous avons fait de notre mieux». Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire. »
« Le secret de ma vitalité? Je n'ai dans le sang que des globules rouges: l'alcool a tué depuis belle lurette tous mes globules blancs. »
« Quand survient un malheur, il est tout à fait possible qu'il vous évite un malheur plus terrible encore. Et, quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous être plus utile que la décision la mieux pesée. »
« Il n'y a aucun mal à changer d'avis, pourvu que ce soit dans le bon sens. »
« Il y a peu de vertus que les Polonais ne possèdent et peu d'erreurs qu'ils n'aient commises. »