« Il vaut mieux porter le poids de son propre chagrin que le fardeau des obligations contractées envers autrui. »
« Se laisser aller à l'imagination aide à perdre la notion du temps. »
« Un travail constant vient à bout de tout. »
« Nous sommes un peu comme des éponges qui aspirons la vie sans le savoir et qui la rendons ensuite, transformée, sans connaître le travail d'alchimie qui s'est produit en nous. »
« Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence. »
« Un auteur est peu propre à corriger les feuilles de ses propres ouvrages : il lit toujours comme il a écrit et non comme il est imprimé. »
« L'amour-propre ne meurt jamais qu'avec notre corps. »
« Il n'y a qu'une espèce d'hommes qui soit totalement responsable de son propre malheur, celle des hommes qui trouvent la vie morne et ennuyeuse. »
« Il y a une certaine volupté à se laisser couler dans le désastre : quand il n'y a presque plus rien à perdre, autant tout perdre. »
« On a toujours assez d'humilité pour supporter sa propre réussite. »
« Tout le travail de l'amour consiste à oublier d'un être ce qu'on en savait au premier jour. »
« J'ai renoncé aux devoirs. Ils sont mauvais pour l'amour-propre. Au lieu d'essayer d'apprendre, je préfère m'aimer tel que je suis. »
« Je n'écris pas pour laisser quelque chose derrière moi, mais pour soulager ma souffrance. »
« L'amour-propre est ce qu'il y a au monde de plus inflexible. »