« L'âge adulte, la période la moins sûre, la plus dangereuse en tout cas, parce que la moins simple. Comme si l'être humain en vieillissant oubliait le rythme naturel de la vie. »
« L'angoisse de l'écrivain, c'est de se retrouver vers l'oeuvre dépassée. Et pourtant d'y tenir comme à son être le plus intime, comme à son enfance même. »
« On est sensible aux mots qui veulent dire quelque chose, on dirait à les entendre qu'ils nous font vivre d'avance la joie qu'ils promettent. »
« La vie, c'est comme une bulle, une petite bulle perdue dans l'atmosphère, et qui éclate un beau jour quand le temps est venu. »
« Allez donc corriger une injustice quand votre victime vient tout juste de vous planter l'épine dans le pied. »
« La douleur physique existe pour nous rappeler que nous sommes mortels. Quand on souffre dans notre corps, on découvre combien sotte et vaine est la vanité. »
« On naît paysan, jamais on ne le devient. »
« On ne pardonne pas à un ami d'être l'envers de soi. »
« Comme c'est fatiguant de rester à la même place, on finit toujours par avancer. »
« L'ambition des pauvres ne va pas sans avarice. »
« La douleur. Elle est patiente, mais quand elle vient c'est pour longtemps, ne la méprise pas. »
« Une fois le désir comblé, une sorte de légèreté vous envahit. Cette légèreté, c'est peut-être ça, l'âme heureuse. »
« Faut pas forcer la confidence ; elle vient quand elle peut. Jamais trop tôt, jamais trop tard. »
« Ta liberté, tu veux que j'te dise, c'est le temps que tu prends pour arriver à la vérité ! »