« La Légion d'honneur de Lyon ? La rosette ! »
« De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie. »
« Si les êtres mettaient à réussir leur existence la même énergie qu'ils consacrent à persuader les autres, le monde serait un jardin de roses. »
« Anglo-Saxons. Des neurasthéniques aux joues roses. »
« Contrairement à ce que l'on imagine, l'idée de la modernité n'est pas liée au tricotage de la prose. Fond et forme sont inséparables, écrire plat, c'est écrire faux. »
« Chagrin d'enfant et rosée du matin n'ont pas de durée. »
« Ça donne des ailes une bonne petite névrose harmonieuse. »
« Il n'y a point de roses de cent jours. »
« C'est un crime que d'être névrosée, quand on y ajoute l'insolence. »
« Dans tous les cas, la poésie est antérieure à la prose : on dirait que l'homme chante avant de parler. »
« Ah ! Peuple mobile qui cède au moindre vent ; malheur à celui qui s'appuie sur ce roseau ! »
« Les vers sont le parler des anges et de Dieu ; La prose, des humains. »
« Les idées font le tour du monde : elles roulent de langue en langue, de siècles en siècles, de vers en prose. »
« Pour ma part, je suis hétérosexuel. Mais il faut le reconnaître, le bisexuel a deux fois plus de chances le samedi soir. »