« Le retour à la bestialité est possible dans une société comme la nôtre. En raison de la désorganisation des mentalités, des crises d'hystéries généralisées, tout cela aggravé par les crises économiques. »
« L'histoire, l'indéflectible histoire, va à rebours des idées. »
« La liberté est une sensation. On peut parfois l'atteindre, enfermé dans une cage comme un oiseau. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« Le pain est le plus conventionnel et le plus frelaté des symboles de la nutrition : l'âme de l'homme n'est pas omnivore. »
« Il y a deux sortes d'hommes: ceux qui font l'histoire et ceux qui la subissent. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Aujourd'hui, tout le monde pose. L'homme propose, la femme dispose, l'industrie expose, le commerce dépose, les sciences composent, et les grands hommes reposent. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« J'aimerais mieux aller hériter à la poste que d'aller à la postérité. »
« Il n'y a pas un mystère de la mort, il n'existe que des amours. »