« Que dois-je faire ? et non pas : Que doivent faire les autres ?C'est ce qui distingue la morale du moralisme. »
« Toi, dont la vieille terre est avide, je t'aime, - Brûlante effusion du brave et du martyr, - Où l'âme se retrempe au moment de partir! »
« Le spectre monstrueux d'un univers détruit, - Jeté comme une épave à l'Océan du vide. »
« La chance, c'est ce qu'on croit toujours qu'on n'a pas. »
« Tu vaux ce que tu veux, et c'est ce qu'on appelle la vertu. »
« Nous n'avons besoin de morale que faute d'amour. »
« La science - toute science - est sans conscience ni limites. »
« La terre prolongeait en bas, immense et sombre, - Les continents battus par la houle des mers; - Au-dessus flamboyait le ciel plein d'univers; - Mais Lui ne regardait que l'abîme de l'ombre. »
« C'est en faisant bien l'homme, ou la femme, qu'on aide l'humanité à se faire. »
« L'homme n'est pas Dieu. Faisons au moins en sorte, et l'on n'en a jamais fini, qu'il soit a peu près humain. »
« Si vous retirez de l'homme ce qui est illusoire, vous retirez tout ce qui est humain. »
« On craint mille morts, et l'on n'en vit jamais qu'une... Toute angoisse est imaginaire; le réel est son antidote. »
« Parler d'amour n'a jamais suffi à être amoureux ou à s'aimer. »
« Toute angoisse est imaginaire; le réel est son antidote. »