« Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles. »
« Les filles, c'est comme les limaces. Elles doivent bien servir à quelque chose, mais à quoi ? »
« Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux et les autres. Je n'ai jamais rencontré les autres. »
« Le capital est chatouilleux et timides sont les prêteurs d'argent. »
« Celui qui lit possède des ailes qui lui permettent de s'enfuir dans des pays merveilleux... Ne pas lire, c'est ramper sur le sol comme un ver. »
« Il y a de nos jours des fillettes de quatorze ou quinze ans qui devraient être condamnées pour détournement de majeurs. »
« La nuit ça change tout la nuit, c'est merveilleux la nuit. »
« Les hommes publics promettent la lune. Les filles publiques la font payer comptant ! »
« Plus on est avide, plus il est indispensable de reculer coûte que coûte les bornes du merveilleux. »
« Le champion, élément fabuleux dans le paysage moderne, est un héros qui ne parvient pas à devenir un personnage. »
« Je ne comprends pas qu'il puisse exister quelque chose de plus merveilleux que moi-même. »
« Les femmes sont des fillettes toute leur vie. Une caresse les console. Un petit oubli les brise. »
« C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume. »
« C'est à la culotte de ses filles qu'on juge un pays. »