« Nos comtes, quand on les compte, ressemblent à des contes. »
« Grattez le Russe et vous trouverez le Tartare. »
« Les gémissements poétiques de ce siècle ne sont que des sophismes. »
« Toutes les grandes choses coûtent beaucoup, les grands efforts abattent et les puissants remèdes affaiblissent. »
« L'automne est le printemps de l'hiver. »
« Mettez une plume d'oie dans la main d'un moraliste qui soit écrivain de premier ordre. Il sera supérieur aux poètes. »
« Décrire les passions n'est rien ; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« Malheur à celui qui ne peut être seul un jour de sa vie sans éprouver le tourment de l'ennui, et qui préfère, s'il le faut, converser avec des sots plutôt qu'avec lui-même ! »
« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« On aime toujours un peu plus la vérité quand on la découvre soi-même. »
« Ne pleurez pas en public. »
« Infini est le champ du roman. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« Les crayons c'est pas du bois et de la mine, c'est de la pensée par les phalanges. »