« Les mots disent ce qu'ils veulent dire. On les emploie par besoin, sans plus. Ou alors on les emploie pour fausser l'idée. »
« Un exilé n'a plus d'amis, et ce malheur est bien plus cruel que l'exil. »
« Beaucoup de pourquoi au malheur, pas de pourquoi au bonheur. »
« Je puis faire ce que je veux, mais le malheur est que je ne vois pas bien ce que je dois faire. »
« Nous sommes beaucoup plus malheureux dans le malheur qu'heureux dans le bonheur. »
« Il n'y a pas au monde de pire malheur que la servitude. »
« Rien ne rend méchant comme le malheur. Voyez les prudes. »
« Des fois que le rêve et le besoin de rêver se confondent, que vient y faire la réalité ? »
« On n'a pas besoin de comprendre les hommages ; tout est dans le ton. »
« Le malheur est à l'art ce que le fumier est à la culture maraîchère. »
« L'homme porte en lui la semence de tout bonheur et de tout malheur. »
« Malheur à vous, les riches, car vous tenez votre consolation. »
« C'est une faute pour une femme de ne pas être là quand son mari a besoin d'elle, mais c'est pire d'être là quand il n'en a pas besoin. »
« Malheur à vous quand tout le monde dira du bien de vous ! »