« Si, ayant frappé ton prochain sur une joue, il te tend l'autre, frappe-le sur la même, ça lui apprendra à faire le malin. »
« Chaque fois que nous mentons à quelqu'un, nous lui faisons le compliment de reconnaître sa supériorité. »
« Toute supériorité est un exil. »
« Si vous tendez l'autre joue, que cela soit mieux pour reconnaître et assommer celui qui veut en profiter. »
« La supériorité est toujours odieuse. »
« La vie est pièce de théâtre : ce qui compte, ce n'est pas qu'elle dure longtemps, mais qu'elle soit bien jouée. »
« C'est formidable le poker. Ce qui compte, ce n'est pas de disposer de bonnes ou de mauvaises cartes mais de savoir jouer avec les mauvaises. »
« Le poète sait jouer sur une harpe sans cordes et il sait ensuite répondre à ceux qui prétendent n'avoir pas entendu la musique. »
« On ne devrait jamais jouer avec les sentiments ; on y brûle sa vie, le peu de sa vie que l'on emmagasine au fond de soi. »
« Vouloir jouer aux échecs contre soi-même est aussi paradoxal que vouloir marcher sur son ombre. »
« En voyant le dimanche matin les gens jouer au tiercé on se met à penser que l'homme est la moins noble conquête du cheval. »
« On sait ce qu'est le monde des parieurs en Angleterre, monde plus intelligent, plus relevé que celui des joueurs. »
« L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. »
« La preuve que Dieu est ami des joueurs de boules, c'est que les feuilles des platanes sont proportionnées à la force du soleil. »