« S'il est une caractéristique universelle en cette vie, c'est bien que tout finit par passer. »
« La ligne droite c'est le bras détendu pour frapper. La ligne courbe, c'est le bras replié pour aimer. »
« Les pires souffrances finissent toujours par se diluer dans l'océan du temps. Et les amours mortes ont un léger parfum de ridicule qui n'arrange rien. »
« La femme seule ne doit qu'à elle-même le compte de ses jours. Elle s'habille pour elle, sort à sa guise, rentre à son gré, dispose comme il lui plaît de son temps, de son cœur et de son téléphone. Elle n'a jamais besoin de mentir, ni d'inventer, et »
« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« Petite aide fait grand bien. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »
« La solitude n'est jamais si cruelle que lorsqu'on la resent tout près de quelqu'un qui a cessé de communiquer. »
« Croire en Dieu est le dernier luxe qui échappe encore à une taxe. »
« Le printemps naît chaque fois que rit une jeune fille et meurt chaque fois que pleure un enfant. »
« L'obéissance n'est qu'une forme canonisée de la paresse. »
« De la peine ça meurt comme de la joie. Tout finit par mourir à la longue. C'est dans l'ordre des choses. »
« Ce qui gâche un peu la littérature contemporaine, c'est le désir de dépayser le lecteur par des choses bizarres, inattendues. L'aventure est partout. »
« L'asservissement ne dégrade pas seulement l'être qui en est victime, mais celui qui en bénéficie. »