« C'est l'imagination qui perd les batailles. »
« Il est difficile de dire avec vérité à partir de quel mot commence une révolution. »
« L'apocalypse est au commencement de soi puisque la fin précède toute naissance. »
« Nul ne sait ce qu'est la guerre, s'il n'y a son fils. »
« On ne fuit jamais assez loin et on ne se fuit jamais assez longtemps ! Car toujours vous rejoint l'inadmissible. »
« Rien n'intrigue davantage d'un certain langage, et l'accent qu'on met dedans. »
« Le goût est la conscience du beau, comme la conscience est le goût du bon. »
« Poussée à bout la solitude n'est que la face voilée de la multitude. »
« Pour mon arrière saison, - Je ne vois et n'envisage, - Que le malheur d'être sage. »
« Ce n'est pas ce qu'on fait sortir de soi dans la poésie des autres qui est important, mais le fait d'avoir enfin une oreille pour l'entendre. »
« La mort, c'est long parfois, ça veut vivre avant de finir. »
« Il n'y a pas de véritable méditation qui ne laisse pas épuisé. »
« Rien ne se perd jamais sinon soi-même, et c'est sans intérêt pour personne. »
« Quand tout est facile, il n'y a rien de vraiment important. »