« C'est dans le silence qui suit l'orage, et non dans celui qui le précède, qu'il faut chercher la fleur en bouton. »
« La chasteté a dans son jardin de grandes et de petites fleurs. Heureux qui les cueillent ! »
« Trois ans d'analyse : soixante-dix mille francs. Tout ça pour apprendre que ta mère couche avec ton père. Et qu'en plus elle aime ça ! »
« Dans le subconscient des anciens, où naquirent tous les mythes, on ne pouvait croire que la plante et les fleurs ne fussent autre chose que l'apparence que les dieux voulaient bien nous en montrer. »
« Manger de l'ail. Ca rajeunit l'organisme et ça éloigne les importuns. »
« Je bois trop ! La dernière fois que j'ai fait une analyse d'urine, il y avait une olive dedans. »
« On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois. »
« Au plus fort de l'orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer. C'est l'oiseau inconnu, il chante avant de s'envoler. »
« Avec les insomnies, on peut faire des bouquets noirs de grandes fleurs friables et crissantes comme le sable sous les dents. »
« Les cimetières sont des champs de fleurs. »
« Le matin, c'est la jeunesse, rien qu'à respirer, ça nous rajeunit. »
« Les fleurs, c'est toujours un cadeau du destin. Il faut les prendre simplement, sans même se demander pourquoi elles nous arrivent. »
« L'antipathie analyse mieux, mais la sympathie seule comprend. »
« La supériorité des occidentaux tient, en dernière analyse, au capitalisme, c'est-à-dire à la longue accumulation de l'épargne. C'est l'absence de capitaux qui rend les peuples sujets. »