« L'enfant à qui ses parents n'ont pas souri n'est digne ni de la table d'un dieu, ni du lit d'une déesse. »
« On se marie pour énerver ses amis ou faire plaisir à ses parents, souvent les deux, parfois l'inverse. »
« La reconnaissance posthume d'un alpiniste ou d'un écrivain a quelque chose à voir avec les glaces éternelles. »
« On aime ressentir l'influence bienfaisante d'un enfant, se mettre à son école, et, l'âme apaisée, l'appeler son maître avec reconnaissance. »
« Les parents. Ils ont déjà pensé à tout. Pas moyen de réfléchir et de décider soi-même. »
« On aurait des enfants tous élevés, si les parents étaient élevés eux-mêmes. »
« La reconnaissance vieillit vite. »
« Les parents comprennent peu les enfants parce que les enfants ne trouvent pas les mots pour s'expliquer. »
« Un enfant de plus, c'est une corde musicale qui vient ajouter ses vibrations à celles qui actionnent harmonieusement le cœur des parents. »
« Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème. »
« On ne peut pas commencer un poème sans une parcelle d'erreur sur soi et sur le monde, sans une paille d'innocence aux premiers mots. »
« On ne devrait porter le demi-deuil que pour les parents qui sont à moitié morts. »
« La reconnaissance est le sentiment d'un bienfait. »
« Père et mère, parents, motifs apparents d'une longue affection réciproque... »