« La maison familiale est une prison pour les jeunes filles et une maison de correction pour les femmes. »
« Il n'y a pas de filles bien qui ont mal tourné, simplement des méchantes qui se sont trouvées. »
« Les filles sont les roses de la couronne de la vie. Les roses et les filles font resplendir le printemps. »
« Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps. »
« Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles. »
« Les filles, c'est comme les limaces. Elles doivent bien servir à quelque chose, mais à quoi ? »
« Il y a de nos jours des fillettes de quatorze ou quinze ans qui devraient être condamnées pour détournement de majeurs. »
« Ne publiez pas vos poèmes, chantez-les ! »
« Les hommes publics promettent la lune. Les filles publiques la font payer comptant ! »
« Je suis un poète, mais je ne veux pas être un poète pour d'autres. Je dévorerai mes propres poèmes et j'en vivrai. »
« Laissons l'amour de Dieu à nos poèmes et cachons-le sous notre prose : c'est une façon de le respecter que de le chanter ou de le taire. »
« Les poèmes aideront à passer avec soi et d'autres êtres le nécessaire serment de fidélité à la vérité de la vie. »
« Les poèmes se font à peu près comme les canons : on prend un trou, et on met quelque chose autour. »
« Et nos poèmes encore s'en iront sur la route des hommes, portant semence et fruit dans la lignée des hommes d'un autre âge. »