« Très peu d'hommes et de femmes existent par eux-mêmes, ont le courage de dire oui ou non par eux-mêmes. »
« Survivre c'est mourir. Il faut patiemment et sans relâche construire, organiser, ordonner. »
« L'existence sociale des hommes détermine leur pensée. »
« A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. »
« Quand un génie véritable apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. »
« Apprends à te connaître : tu t'aimeras moins, et à connaître les autres : tu ne les aimeras plus. »
« L'aberration est de se croire objet unique et de faire de sa petitesse infinitésimale une puissance que jamais l'univers ne pourra reconnaître. »
« S'irriter d'un reproche, c'est reconnaître qu'on l'a mérité. »
« La chance de la littérature, c'est d'être associée aux destins de la liberté dans le monde : elle reste une forme fondamentale de contestation et de critique de l'existence. »
« Les réglements c'est comme la Bible. Tout le monde pense les connaître mais personne ne les lit. »
« Il faut surtout anéantir l'espérance dans le cœur de l'homme. Un désespoir paisible, sans convulsions de colère et sans reproches au ciel, est la sagesse même. »
« Obligation à l'esprit de choisir, entre perfectionner l'existence ou l'oeuvre. »
« Il y a, dans le sentiment même des regrets, quelque chose de doux et d'harmonieux qu'il faut tâcher de faire connaître à ceux qui n'ont encore éprouvé que les amertumes. »
« Toutes les bonnes choses qui existent sont les fruits de l'originalité. »