« La poésie, c'est de la multiplicité broyée et qui rend des flammes. »
« Je n'ai jamais rien étudié, mais tout vécu et cela m'a appris quelque chose. »
« La poésie, c'est de la multiplication broyée et qui rend des flammes. »
« Il faut suivre la foule pour la diriger. Lui tout céder pour tout lui reprendre. »
« L'esprit a tendance à se délivrer du palpable pour arriver à ses fins. »
« ... Une sorte d'harmonie visuelle foudroyante, je veux dire dont l'acuité agit tout entière et se rassemble dans un seul regard. »
« S'il est difficile de vivre, il devient de plus en plus impossible et inefficace de mourir. »
« Toute humanité veut vivre, mais elle ne veut pas payer le prix et ce prix est le prix de la mort. »
« Là où d'autre propose des oeuvres, je ne prétends pas autre chose que de montrer mon esprit. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« S'il y a un diamant dans la poitrine, il brille sur le visage. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »