« Ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants si leurs petites têtes et leurs petites mains n'étaient pas toujours avec leurs sourires et leurs caresses au milieu de notre esprit et au milieu de notre cœur. »
« Les choses sont ce qu'elles sont parce qu'elles étaient ce qu'elles étaient... »
« Les grands hommes, les génies, les saints, n'ont fait de grandes choses que parce qu'ils étaient inspirés par un grand idéal. On a besoin d'accrocher sa charrue aux étoiles. »
« J'ai toujours aimé les jeunes filles. Quand j'avais huit ans, c'était plus grave : elles étaient encore plus jeunes. »
« Il y a des hommes politiques éclairés en France et en Allemagne qui ont dit que des pays qui ont la même monnaie ne s'enfermeront plus jamais dans des querelles. »
« Les bateaux destinés au transport des animaux et des chars étaient accolés bord à bord. »
« Et si de probité tout était revêtu, - Si tous les cœurs étaient francs, justes et dociles, - La plupart des vertus nous seraient inutiles, - Puisqu'on en met l'usage à pouvoir sans ennui - Supporter, dans nos droits, l'injustice d'autrui. »
« Si tous les hommes étaient parfaitement contents, il n'y aurait plus d'activité dans le monde. »
« Les sacs à main des femmes étaient sans doute les seuls objets qui avaient résisté, au cours des âges, aux perfectionnements mécaniques. »
« Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s'étaient souhaité une bonne et heureuse année. »
« L'éloignement, la jalousie, les querelles, le ressentiment n'empêchent pas l'amour, affection reptilienne qui se mord la queue et se nourrit volontiers de son contraire. »
« Il ne faudrait pas croire que les responsables d'hier étaient plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d'aujourd'hui ! »
« Si les astres étaient immobiles, le temps et l'espace n'existeraient plus. »
« Combien j'ai douce souvenance - Du joli lieu de ma naissance! - Ma soeur, qu'ils étaient beaux les jours - De France! - O mon pays, sois mes amours - Toujours! »