« Les femmes ont tous les défauts : elles sont autoritaires, dépensières, sans culture. Et le pire de tous : elles sont jolies. »
« Le temps ride la peau des hommes et polit celle des pneus. »
« On finit par s'habituer aux gens intelligents. »
« Le monde est une vallée de pleurs, mais somme toute, bien irriguée. »
« L'oisiveté exige tout autant de vertus que le travail : il y faut la culture de l'esprit, de l'âme et des yeux, le goût de la méditation et du rêve, la sérénité... »
« Les salons et les académies tuent plus de révolutionnaires que les prisons ou les canons. »
« La pudeur leur va si bien quand elles en ont, si bien quand elles n'en ont plus, que je ne conçois guère de femmes qui ne désirent pas en avoir. »
« La vieillesse est un âge où le ridicule ne tue plus. »
« L'amour n'est pas un sentiment, c'est un art. »
« Nos pères furent sédentaires. Nos fils le seront davantage car ils n'auront, pour se déplacer, que la terre. »
« Les prostituées sont souvent, après les religieuses, nos meilleures patriotes. »
« C'est en public que les femmes se déshabillent le plus volontiers. »
« ... Il s'ennuie, comme dans la grammaire allemande, à attendre le verbe. »
« Lorsque le Dictionnaire de l'Académie en arrivera au mot Vertu, je ne serai plus de ce monde. Jeudi prochain, nous serons au mot Cul. »