« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Pour "changer la vie", il faudrait commencer par changer la vie politique. »
« Avant il y avait les mouches, maintenant il y a la télévision. »
« Je suis trop sceptique pour être incrédule. »
« L'image du jeu est sans doute la moins mauvaise pour évoquer les choses sociales. »
« Dans beaucoup de choix de la vie, il est difficile de savoir la part de la réaction contre et de l'inclination pour. »
« On a vu des chevaux et des cavaliers parfaitement d'accord : c'étaient assez souvent des chevaux de bois. »
« Le talent, c'est beaucoup ce que les autres font de toi. »
« Peut-il y avoir sur terre un endroit où les choses sont à l'envers, où les arbres poussent vers le bas tandis que la pluie, la grêle et la neige tombent vers le haut ? L'idée folle selon laquelle la terre est ronde est la source de cette légende imbécile. »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »
« Le plus grand ridicule pour une femme, c'est d'être un homme. »
« Tendre mère ! Vous ne m'abandonnez pas, même en rêve. »
« L'Histoire est une conspiration permanente contre la vérité. »
« Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde : le remords et la maladie ; le reste est idéal... »