« Adieu!... Il y a quelque chose de saisissant dans ce mot; c'est comme si l'on se renvoyait à l'éternité! »
« Adieu l'Emile je t'aimais bien, tu sais - On a chanté les même vins - On a chanté les mêmes filles. »
« Le retour fait aimer l'adieu. »
« Prolonger des adieux ne vaut jamais grand chose ; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ. »
« Mais viendra le jour des adieux, - Car il faut que les femmes pleurent - Et que les hommes curieux - Tentent les horizons qui leurrent! »
« Prolonger les adieux ne vaut jamais grand-chose; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ. »
« La nature n'est ni morale ni immorale, elle est radieusement, glorieusement, amorale. »
« Les adieux ne sont jamais éternels. »
« Les adieux ressemblent à des oiseaux qui apprennent à voler. »
« Car l'on sait bien que l'amour ignore toujours sa propre profondeur jusqu'au jour des adieux. »
« Que des noeuds mal attachés - Dévoilent pour nos péchés - Tes deux beaux seins, radieux - Comme des yeux. »
« Quand on a fini de jouer soi-même les premiers rôles, on veut donner des leçons et diriger les jeunes acteurs. C'est le geste des adieux! »
« Tous mes jours sont des adieux. »
« Avant tous mes Adieux à la vie, à l'amour, - Qui sont la même chose, et pour le même jour, - J'en dois à l'art de plaire, ainsi qu'à la jeunesse: - Et je devrais en faire à la tendresse; - Mais je laisse mon cœur aller tant qu'il pourra. »