« Si tous les cocus et leurs femmes qui les font se tenoyent tous par la main et qu'il s'en pust faire un cerne, je croy qu'il seroit assez bastant pour entourer et circuire la moitié de la terre. »
« Le bien de la fortune est un bien périssable ; quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable. »
« Les vrais amis sont ceux qui mêlent leur confiance réciproque, leurs pensées et leurs rêves, leurs vertus comme leurs bonheurs et leurs souffrances, libres de se séparer toujours et ne se séparant jamais. »
« Ne vous mêlez pas des affaires des magiciens, car ils sont subtils et prompts à la colère. »
« Rien ne vaut la recherche lorsqu'on veut trouver quelque chose. »
« L'étude des mathématiques, en comprimant la sensibilité et l'imagination, rend quelquefois l'explosion des passions terrible. »
« En amour, la possession n'est pas la propriété. »
« La volonté du mal ruine souvent le mal. »
« Si un plus grand nombre d'entre nous préférait la nourriture, la gaieté et les chansons aux entassements d'or, le monde serait plus rempli de joie. »
« Celui qui brise une chose pour apprendre ce qu'elle est, a quitté les chemins de la raison. »
« La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti. »
« Nombreux sont ceux qui vivent et méritent la mort. Et certains qui meurent méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser la mort en jugement. »
« Ainsi vient la neige après le feu, et même les dragons ont une fin. »
« Il n'est pas prudent d'écarter de ses calculs un dragon vivant, quand on est près de lui. »