« Mettez une plume d'oie dans la main d'un moraliste qui soit écrivain de premier ordre. Il sera supérieur aux poètes. »
« Décrire les passions n'est rien ; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« La première des vertus est le dévouement à la patrie. »
« Ne pleurez pas en public. »
« Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, quand par hasard tu t'es coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas. »
« Le doute est un hommage rendu à l'espoir. »
« Si tu es robuste, tiens-toi tranquille ; les autres te respecteront plus qu'ils ne te craindront. »
« L'armée c'est la nation. »
« La vraie tendresse est avant tout affaire de violence contenue... »
« J'ai reçu la vie comme une blessure et j'ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. »
« L'esprit d'une femme est reconnu dès qu'il sert la gloire de l'homme ou son plaisir. »
« La chair est éducative aussi bien que les livres, et les sens appartiennent à l'esprit. »
« Le critique a toujours le mérite imbécile de se prendre au sérieux. Il n'a d'ailleurs souvent que celui-là. »
« Le roman est un genre faux, parce qu'il décrit les passions pour elles-mêmes : la conclusion morale est absente. »