« Chaque roman est un déicide secret, un assassinat symbolique de la réalité. »
« La poésie est une éternelle jeunesse qui ranime le goût de vivre jusque dans le désespoir. »
« Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un morceau de ta chair reste dans l'encrier. »
« La mode c'est le goût des autres. »
« Rabattons notre suffisance, critiquons sans relâche nos propres défauts, tout comme, chaque jour, nous nous lavons la figure pour rester propres et balayons pour enlever la poussière. »
« Rien n'est éternel sauf, chez les hommes courageux, le goût de la liberté. »
« Il y a bien des façons de servir... Chaque époque nous propose la sienne. »
« La nature à chaque instant s'occupe de votre bien-être. Elle n'a pas d'autre fin. Ne lui résistez pas. »
« Selon les latitudes, la haine de l'étranger change de nom. En Europe, elle s'appelle patriotisme, en Chine xénophobie. »
« Emploie la bonté même envers l'homme malveillant : le mieux est de fermer la gueule du chien avec une bouchée. »
« Chaque génération doit à la suivante ce qu'elle a reçu de ses devancières, un ordre social établi. »
« Il faudrait considérer ses opinions comme des costumes, et en changer selon la saison, l'heure et le milieu. »
« Le mauvais goût, c'est de confondre la mode, qui ne vit que de changements, avec le beau durable. »
« L'homme est un animal qui fait des affaires. Un chien n'échange pas son os contre celui d'un autre. »