« La vieillesse serait vraiment trop triste si le rose essaim des pensées polissonnes ne venait parfois la consoler. »
« Elles s'en vont, les pensées tristes, les années veuves. Comme un bouchon qui s'accroche, un instant, dans les roseaux du fleuve. »
« J'ai regardé dans le registre des maladies et n'y ai point trouvé les soucis ni les pensées tristes. Cela est fort injuste. »