« Le travail, même s'il n'arrive pas à sortir l'homme de la misère, lui garantit sa dignité. »
« Des amis pour faire la fête, on en trouve des milliers, mais dès que l'on tombe dans la misère, il n'y a plus personne. »
« On dit que l'argent ne fait pas le bonheur. Peut-être, mais il vous permet en tout cas de choisir le genre de misère que vous préférez. »
« S'attacher aux résultats est cause de malheur et de misère. Le vrai sage ne s'occupe pas de ce qui est bon ou mauvais dans ce monde. »
« La plus grande violence que les hommes s'infligent entre-eux est la misère ; qui, au delà de la pauvreté, plonge une partie de l'humanité dans l'inexistence. »
« Il est toujours important de lever la tête quand tu marches. La vie, ça ne se passe pas par terre. Tu lèves les yeux et tu aperçois du linge aux balcons et des enfants aux fenêtres, un peu de joie, de la misère quelquefois... »
« Un monarque qui cherche ses plaisirs et sa satisfaction particulière, et qui souffre que ses sujets soient dans la misère, voit bientôt l'éclat de sa grandeur obscurci. »
« Le ministère des Finances devrait s'appeler ministère de la Misère puisque le ministère de la Guerre ne s'appelle pas ministère de la Paix. »
« Le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires et dans ses défaites. Admiration et pitié, telle est la devise du roman. »
« Celui qui n'a pas connu la souffrance et la misère ne peut pas apprécier cette paix intérieure qui pourrait le rendre insensible aux malheurs des autres. »
« Je vous dénonce la misère, cette longue agonie du pauvre qui se termine par la mort du riche.Législateurs, la misère est la plus implacable des lois. »
« Il y a un moment de la misère où l'esprit n'est plus déjà tout le temps avec le corps. Il s'y trouve vraiment trop mal. C'est déjà presque une âme qui vous parle. »
« Il m'arrive de croire que la misère attire la misère et que les gens heureux évitent le malheur des autres. »
« L'actionnaire est la plus belle invention du capitalisme. Le partage des responsabilités par un grand nombre. La politique de la peur, de la faim, de la misère diluée au niveau des masses qui en souffrent. »