« O combien de marins, combien de capitaines - Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, - Dans ce morne horizon se sont évanouis! - Combien ont disparu, dure et triste fortune! - Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune... »
« O flots que vous savez de lugubres histoires! - Flots profonds redoutés des mères à genoux! - Vous vous les racontez en montant les marées, - Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées - Que vous avez le soir quand vous venez chez nous. »
« Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires? »