« Vous ne sauriez apporter dans cet ouvrage (le Commentaire sur Corneille) trop de soin, d'exactitude et même de minutie. »
« N'oubliez pas d'insister plus que vous ne faites dans votre épître, sur la protection qu'on accordait aux persécuteurs de Corneille, et sur l'oubli profond où sont tombées toutes les infamies qu'on imprimait contre lui. »