« Les Blancs changent sans arrêt le monde pour l'adapter à la vision fluctuante qu'ils ont de l'avenir. Les aborigènes mobilisent toute leur énergie mentale pour laisser le monde dans l'état où il était. En quoi cette conception est-elle inférieure ? »
« La cause du succès ou de l'échec relève beaucoup plus d'une attitude mentale que d'une capacité mentale. »
« Il faut vouloir quand on le peut, car ni la saison, ni le temps, n'attendent personne. »
« L'hiver, c'est la saison du recueillement de la terre, son temps de méditation, de préparation. »
« L'hiver, cette saison de silence froid, mais aussi d'attente féconde. »
« De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre. »
« L'abondance de paroles inutiles est un symptôme certain d'infériorité mentale. »
« L'automne a beau se parer, comme une vieille coquette, s'orner de feuillages pourpres ou mordorés, il n'est que leurre et trompe-l'oeil. »
« Aujourd'hui, l'optimisme est une nécessité pour préserver sa santé mentale. »
« L'automne est une mutation, l'hiver une lutte, le printemps un épanouissement. »
« L'automne raconte à la terre les feuilles qu'elle a prêtées à l'été. »
« La maladie mentale est une incapacité à s'ajuster, dans des limites raisonnables, à des règles tacites en perpétuelle évolution. »
« Ce qu'il y a parfois de beau avec l'automne, c'est lorsque le matin se lève après une semaine de pluie, de vent et brouillard et que tout l'espace, brutalement, semble se gorger de soleil. »
« Le rire est l'antidote de la morosité et de l'ennui : il dissipe les idées morbides et se fait souvent le garant d'une bonne santé mentale. Les gens qui rient sont des gens heureux : ils n'ont pas d'histoire. »