« Toute naissance est la renaissance d'un ancêtre. »
« Le dernier d'une famille nombreuse a l'impression d'être monté en surnombre dans un train déjà complet. »
« L'amour, c'est comme du mercure dans la main. Garde-la ouverte, il te restera dans la paume ; resserre ton étreinte, il te filera entre les doigts. »
« Quand on lève le doigt pour poser une question, c'est peut-être une façon inconsciente d'indiquer que toutes les réponses sont là-haut. »
« Ton christ est juif, ta pizza est italienne, ton café est brésilien, ta voiture est japonaise, ton écriture est latine, tes vacances sont turques, tes chiffres sont arabes et... Tu reproches à ton voisin d'être étranger ! »
« Une longue maladie semble être placée entre la vie et la mort, afin que la mort même devienne un soulagement et à ceux qui meurent et à ceux qui restent. »
« La vanité consiste à vouloir paraître ; l'ambition, à vouloir être ; l'amour-propre, à croire que l'on est ; la fierté, à savoir ce que l'on vaut. »
« La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir. »
« Un seul être suffit quand il faut tout donner. »
« Etre parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est en vivre... Ce n'est pas y naître, c'est y renaître. »
« Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils devrait être, et vous les aiderez ainsi à devenir ce qu'ils peuvent être. »
« Qu'une chose soit difficile doit nous être une raison de plus pour l'entreprendre. »
« Les hommes ont peut-être découvert le feu, mais les femmes ont découvert qu'on pouvait jouer avec. »
« Le degré de civilisation d'une société se mesure à la détresse de ses citoyens les plus pauvres, et non au nombre de ses gratte-ciel. »