« Si tu veux savoir combien de gens te regretteront, plante ton doigt dans la mare, retire-le et regarde le trou. »
« Il est des joies comme il est des douleurs qui défient toute description, et si le pinceau de l'artiste réussit à montrer toutes les douleurs ou toutes les joies de l'âme, la plume de l'écrivain s'arrête impuissante, ou se brise de désespoir. »
« Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l'est par fausseté. »
« La douleur physique existe pour nous rappeler que nous sommes mortels. Quand on souffre dans notre corps, on découvre combien sotte et vaine est la vanité. »
« Pourquoi faut-il que nous ayons assez de mémoire pour retenir jusqu'aux moindres particularités de ce qui nous est arrivé et que nous n'en ayons pas assez pour nous souvenir combien de fois nous les avons contées à une même personne. »
« Combien de filles à qui une grande beauté n'a jamais servi qu'à leur faire espérer une grande fortune ! »
« Si vous voulez quelque chose, peu importe combien de temps, combien de vies, vous mettrez à l'accomplir. L'important est d'essayer, d'essayer encore, jusqu'à ce que vous atteigniez votre but. »
« S'il est librement choisi, tout métier devient source de joies particulières, en tant qu'il permet de tirer profit de penchants affectifs et d'énergies instinctives. »
« Combien d'hommes profondément distraits pénétrèrent dans des trompe-l'oeil et ne sont pas revenus. »
« Ce n'est quelquefois qu'en perdant ceux qu'on aime qu'on sent combien on les aimait. »
« Souffrances et joies se tiennent solidaires. L'on ne peut être heureux que dans la mesure où l'on souffre. L'égalité se fait dans l'ordre de l'intensité. »
« Personne ne sait combien de temps peut durer une seconde de souffrance. »
« Combien il est contraire au dessein de Dieu que la vérité de sa religion soit aussi évidente et claire pour tous les hommes qu'une démonstration mathématique. »
« Quand nous voyons un supérieur partager nos misères, c'est à peine si nos misères semblent nos ennemies. »