« A force de prendre les choses comme elles venaient, on finissait par leur trouver certains avantages insoupçonnés. »
« C'est effrayant: être en vie, cela signifie avant tout se demander si oui ou non on sera encore en vie sans une heure. »
« Les hantises de l'homme se réduisent à trois points de mire : mon moi, mes mois et mes émois. »
« Inquiétant, mais vrai: sur les 80 milliards d'individus qui ont déjà fréquenté notre terre aux cours des siècles, aucun n'a survécu. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »