« A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons. »
« Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! »
« Avant de te préoccuper de la route, inquiète-toi du compagnon. »
« Quand les vaches sont couchées,Toutes de même côté, Il fera mauvais. »
« Années de cerises rouges met le rire sur les bouches. »
« En bourse il faut acheter la rumeur et vendre la nouvelle. »
« Il n'est jamais de portes aux champs. »
« D'où que viennent mes hôtes, c'est ma cuisine qu'ils semblent préférer. »
« Epargne de bouche vaut rente de pré. »
« Cette beauté, sombre comme le fer,Est de celles que forge et polit l'Enfer. »
« Le goût frénétique de l'homme pour toutes les substances saines ou dangereuses, qui exaltent sa personnalité, témoigne de sa grandeur. Il aspire toujours à réchauffer ses espérances et à s'élever vers l'infini. »
« Bien qu'on ait du cœur à l'ouvrage. L'Art est long et le temps est court. »
« Le femme est l'être qui projette la plus grande ombre ou la plus grande lumière dans nos rêves. »
« Sans mors, sans éperon, sans bride, partons à cheval sur le vin pour un ciel féerique et divin ! Nous fuirons sans repos ni trêve, vers le paradis de mes rêves ! »