« Cet enfant qui boit dans le creux de sa main, m'apprend que je conserve encore du superflu. »
« Les choses nécessaires coûtent peu, les choses superflues coûtent cher. »
« Quant on est jeune, il est trop tôt ; quant on est vieux, il est trop tard. »
« Les mathématiciens étudient le soleil et la lune et oublient ce qu'ils ont sous les pieds. »
« Le plaisir est le souverain bien par le fait que dès leur naissance, les êtres vivants recherchent le plaisir et fuient la douleur, par une inclinaison naturelle et sans raisonnement. »
« L'espérance est la dernière chose qui meurt dans l'homme. »
« Il savait jouir du moment présent; il évitait la souffrance que l'on rencontre lorsqu'on cherche à jouir des choses qui ne se sont pas présentées. »
« (Solon) disait que le sceau de la parole est le silence, le sceau du silence le moment opportun. »
« On raconte que Platon, voyant quelqu'un qui jouait aux dés, lui fit des reproches. Ce dernier répondit qu'il jouait pour peu de chose. «Mais l'habitude, répondit Platon, ce n'est pas peu de chose.» »
« Les critiques littéraires sont les cactus qui vivent de leurs piquants parmi les vautours qui vivent de leurs plumes. »
« La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. »
« Changer d'air, c'est salutaire. »
« Rater sa vie est un droit inaliénable. »
« La chance, c'est comme le Tour de France : on l'attend longtemps et ça passe vite. »