« C'est pas parce qu'on y voit double qu'à la fin on y voit mieux. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Le meilleur vin n'est pas nécessairement le plus cher, mais celui qu'on partage. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« La seule révolution possible, c'est d'essayer de s'améliorer soi-même, en espérant que les autres fassent la même démarche. Le monde ira mieux alors. »
« Un anarchiste est un homme qui traverse scrupuleusement entre les clous, parce qu'il a horreur de discuter avec les agents. »
« L'encre des billets doux pâlit vite entre les feuillets des livres de cuisine. »
« L'enfant naturel, l'orphelin - Est malheureux et je le plains, - Mais, du moins, il n'est pas tenu - Au respect d'un père inconnu. »
« L'amitié n'exige rien en échange, que de l'entretien. »
« Faire l'amour, c'est comme sauter à la corde : on ne peut pas le faire toute la journée ! »
« Le premier mai c'est pas gai, - Je trime, a dit le muguet, - Muguet, sois pas chicaneur, - Car tu donnes du bonheur. »
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente. »
« La révolution, c'est une tentative pour faire aboutir les rêves. »
« Le véritable anarchiste marche toujours entre les clous, parce qu'il a horreur de discuter avec les flics. »