« Le seuil est parfumé, l'alcôve est large et sombre, - Et, là, parmi les fleurs, nous trouverons dans l'ombre, - Pour nos cheveux unis un lit silencieux. »
« O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! - O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! - Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure - Des souvenirs dormant dans cette chevelure, - Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! »
« L'alcôve tue lentement. »