« Le visage de mon prochain est une altérité qui ouvre l'au-delà. Le Dieu du ciel est accessible sans rien perdre de sa transcendance, mais sans nier la liberté du croyant. »
« L'altérité de mon prochain me comprend et m'accueille à condition que mon propos ait subi dans son voyage vers lui, une altération telle qu'il ne soit déjà plus tout à fait le mien, déjà plus qu'un peu le sien. »