Ernesto Sabato est un écrivain argentin né à Rojas, dans la province de Buenos Aires le 24 juin 1911 et mort à Buenos Aires, le 30 avril 2011.
« Mais pourquoi cette manie de vouloir trouver des explications à tous les actes de la vie? »
« Le tango : une pensée triste qui se danse. »
« Je crois que la vérité est parfaite pour les mathématiques, la chimie, la philosophie, mais pas pour la vie. Dans la vie, l'illusion, l'imagination, le désir, l'espoir comptent plus. »
« ... C'est incroyable à quel point la cupidité, l'envie, la prétention, la grossièreté, l'avidité et, en général, tout cet ensemble d'attributs qui forment la condition humaine, transparaissent sur un visage, dans une démarche, dans un regard. »
« Le sexe est une des formes primaires du pouvoir. »
« La vérité est parfaite pour les mathématiques, la chimie, la philosophie, mais pas pour la vie. »
« Il arrive à chacun de se croire un surhomme tant qu'il ne s'est pas aperçu qu'il est en même temps mesquin, impur et perfide. »
« Etre original, c'est, en un sens, mettre en valeur la médiocrité des autres, ce qui me paraît d'un goût très douteux. »
« ... Vivre consiste à se faire de futurs souvenirs. »
« Toute notre vie ne serait-elle qu'une suite de cris anonymes dans un désert d'astres indifférents? »
« L'échec de beaucoup de personnes nous sauve un peu. »
« L'espérance ne serait-elle pas la preuve d'un sens occulte de l'Existence, une chose qui mérite qu'on lutte pour elle? »