François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac en Charente et mort le 8 janvier 1996 à Paris (7e arrondissement), est un homme d'État français. Il est le 21e président de la République française du 21 mai 1981 au 17 mai 1995.
« Un caractère fort qui s'abaisse va toujours plus loin dans le zèle qu'un faible qui n'a pas à battre monnaie de son abnégation. »
« Le journaliste, lui peut écrire n'importe quoi et se tromper sur tout, cela ne change rien, ses journaux se vendent toujours aussi bien ou aussi mal. »
« Etre enseignant, ce n'est pas un choix de carrière, c'est un choix de vie. »
« Régime oblige : le pouvoir absolu a des raisons que la République ne connaît pas. »
« La liberté de la presse présente des inconvénients. Mais moins que l'absence de liberté. »
« L'homme ne pourra plus accepter de travailler sans créer ni participer aux décisions. »
« Dans les épreuves décisives on ne franchit correctement l'obstacle que de face. »
« L'homme politique s'exprime d'abord par ses actes; c'est d'eux dont il est comptable; discours et écrits ne sont que des pièces d'appui au service de son oeuvre d'action. »
« L'inflation, impôt pour les pauvres, prime pour les riches, est l'oxygène du système. Regardez-le qui s'époumone. »
« L'homme d'Etat se distingue à sa capacité de prendre en compte les terres inconnues, une fois le reste exploré. »
« Un dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi. »
« Dans la vie politique, on ne se fait pas, on ne se crée pas de véritables amitiés. On a quelques bons compagnons. »
« L'artifice du langage représente à mes yeux un symptôme majeur du mal dont souffre l'Occident. »
« L'Algérie c'est la France. »