Jean-Jules Richard est un écrivain québécois de langue française, né le 18 août 1911 à Saint-Raphaël-de-Bellechasse (à proximité de Québec) et mort le 3 mai 1975 à Montréal.
« Parfois les lèvres prostituent les paroles. »
« L'argent pour les avocats, c'est un peu comme les indulgences, ça produit son effet de loin-z-à-loin. »
« Quand on fait dans la fidélité, parfois on s'épuise. »
« Un homme au pouvoir n'a qu'un seul parti à prendre, le sien qui le maintiendra au pouvoir. »
« L'oisiveté est peut-être aussi la mère de la paresse. »
« L'imagination, c'est l'art de faire des images au mérite. »
« On ne peut bien vaincre que ce que l'on déteste. »
« Comme c'est beau l'amour. Ça endure tout. »
« Les femmes gouvernent le monde. Rien de nouveau même si de temps en temps on le fait savoir. »
« L'art, c'est la divinisation même des belles choses, comme le péché. Aussi longtemps que le péché reste caché. »
« La pitié est une autre infirmité. »
« Les tyrans souvent se désemparent devant leur victime. »
« Tout homme a besoin de s'attacher à une bouée spirituelle ou superstitieuse, tourmenté qu'il est par le mystère de l'inconnu, notamment celui du secret de la mort. »
« C'est la rançon d'un homme riche que d'avoir un fils qui coûte cher. »