Jean-Paul Sartre, né le 21 juin 1905 et mort le 15 avril 1980 à Paris, est un écrivain de langue française, philosophe politiquement engagé, également dramaturge, romancier, nouvelliste et essayiste.
« Serions-nous muets et cois comme des cailloux, notre passivité même serait une action. »
« Chacun juge de l'histoire selon la profession qu'il exerce. »
« Aucun de nous ne peut se sauver seul; il faut que nous nous perdions ensemble ou que nous nous tirions d'affaire ensemble. »
« Ainsi, autrui est d'abord pour moi l'être pour qui je suis objet. »
« ... L'homme est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l'avenir. L'homme est d'abord un projet qui se vit subjectivement... »
« On ne fait pas ce qu'on veut et cependant on est responsable de ce qu'on est. »
« Mais si vraiment l'existence précède l'essence, l'homme est responsable de ce qu'il est. »
« Il faut faire en sorte que l'homme puisse, en toute circonstance, choisir la vie. »
« L'ennui avec le Mal, c'est qu'on s'y habitue, il faut du génie pour inventer. »
« Il ne faut pas que je pense que je ne veux pas penser. Parce que c'est encore une pensée. »
« L'argent n'a pas d'idée. »
« La vie humaine commence par l'autre côté du désespoir. »
« ... Je suis libre. Par-delà l'angoisse et les souvenirs. Libre. Et d'accord avec moi. »
« La violence se donne toujours pour une contre-violence, c'est-à-dire pour une riposte à la violence de l'autre. »