« Dieu est pour le bien des hommes à quelques conditions : qu'on l'honore, qu'on le prie, qu'on lui fasse des sacrifices. Sinon, Dieu devient terrible ! Il te fait le déluge, l'exil, la guerre, la sécheresse, la foudre, au choix. »
« Va, mon Isabelle, tes maximes à la mode ne sont pas raisonnables. »
« Les membres du corps eux-mêmes se portent assistance lorsque l'un d'entre eux est malade. Il n'y a que l'homme orgueilleux qui dédaigne de porter assistance à son semblable. »
« J'attends que la sexualité se démocratise afin que chacun puisse révéler sa vraie nature sans en souffrir socialement. »
« Ce n'est pas l'escroc du monde des affaires que nous craignons mais l'honnête homme qui ne sait pas ce qu'il fait. »
« Le paradoxe, c'est que le noir cache et sublime en même temps. »
« Ce qu'on ne conçoit pas n'attise pas la curiosité. »
« Il faut convaincre les vivants que les morts ne savent pas chanter. »
« De l'avis de quelques-uns, on pourra bientôt faire de l'élevage sur la lune. Ce qui est inquiétant c'est que dans peu de temps on devra peut-être payer pour que cela ne se fasse pas. »
« Celui qui désire quelque chose perd ce qu'il désire, à savoir, Dieu, qui est toutes choses. »
« Chaque je n'a d'existence qu'en empiétant un tout petit peu sur celui des autres, en empiétant un tout petit peu celui des autres. »
« Défendre d'aimer à une jeune et jolie personne, ce serait défendre à un arbre de porter des feuilles au mois de mai. »
« Etre écrivain, c'est être un peu voyeur. »
« La prière doit être la clef du matin et le verrou du soir. »