« Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c'est cela seul dont tu peux vivre. »
« L'histoire, l'indéflectible histoire, va à rebours des idées. »
« La liberté est une sensation. On peut parfois l'atteindre, enfermé dans une cage comme un oiseau. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« Le pain est le plus conventionnel et le plus frelaté des symboles de la nutrition : l'âme de l'homme n'est pas omnivore. »
« Il y a deux sortes d'hommes: ceux qui font l'histoire et ceux qui la subissent. »
« On ne sait jamais ce qu'il y a dans la tête d'un enfant en dehors de ce que nous y avons mis. »
« Quand on sème des épines on ne va pas sans sobots. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« La vie sans farces est comme un voyage sans auberges. »
« Je ne crois que les témoins qui se font tuer. »
« Ce n'est pas que je sache bien employer mon temps, mais c'est que je sais bien le perdre; et, soit dit sans me vanter, c'est peut-être la première de toutes les sciences. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« Je n'ai plus besoin de plaire à personne, puisque personne n'a plus besoin de moi. »